Challenge
Instaurer la présomption d'innocence de l’enfant dans la loi
Face à l'inceste
Deux cauchemars dans mon histoire
Instaurer la présomption d'innocence de l’enfant dans la loi
Idée
En se plaçant à hauteur d’enfant, le film soulève la violence de la question du consentement et fait prendre conscience au spectateur combien le cadre légal peut entretenir le cauchemar physique et psychologique que vivent les enfants.
Capacités
- Développement créatif
- Créatif et campagne
- Stratégie
Crédits / Contributeurs
Marco VenturelliPrésident en Charge de la Création
Fabrice DelacourtDirecteur de création
Kevin SalembierConcepteur-Rédacteur
Nicolas HurezDirecteur Artistique
Tout voirFermer
Crédits / Contributeurs
- Marco VenturelliPrésident en Charge de la Création
- Fabrice DelacourtDirecteur de création
- Kevin SalembierConcepteur-Rédacteur
- Nicolas HurezDirecteur Artistique
- Anne-Fleur de BailliencourtAssistant de direction artistique
- Geoffrey KristofAssistant de direction artistique
- Marine CatalanPlanning director
- Caroline DarmonResponsable commercial
- Priscilla VaudevireCommercial
- Benjamin Auberdiac (Prodigious)TV Production
- Thanapol EkwattanachotkulTraduction
- Vincent GibaudRéalisateur
- Amandine BruneauProductrice exécutive
Project assets
Capacités
- Développement créatif
- Créatif et campagne
- Stratégie
Crédits / Contributeurs
Marco VenturelliPrésident en Charge de la Création
Fabrice DelacourtDirecteur de création
Kevin SalembierConcepteur-Rédacteur
Nicolas HurezDirecteur Artistique
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Crédits / Contributeurs
- Marco VenturelliPrésident en Charge de la Création
- Fabrice DelacourtDirecteur de création
- Kevin SalembierConcepteur-Rédacteur
- Nicolas HurezDirecteur Artistique
- Anne-Fleur de BailliencourtAssistant de direction artistique
- Geoffrey KristofAssistant de direction artistique
- Marine CatalanPlanning director
- Caroline DarmonResponsable commercial
- Priscilla VaudevireCommercial
- Benjamin Auberdiac (Prodigious)TV Production
- Thanapol EkwattanachotkulTraduction
- Vincent GibaudRéalisateur
- Amandine BruneauProductrice exécutive
« Il s’agit d’arrêter de demander à un enfant, au même titre qu’un adulte, s’il était consentant à ces actes. Arrêter de lui demander s’il était d’accord pour avoir des actes sexuels avec un membre de sa famille. Par ailleurs, cela envoie un message symbolique : les enfants doivent se protéger eux-mêmes, ils ne peuvent pas compter sur la loi. C’est tout bonnement insupportable et ça fait 20 ans qu’on lutte contre cette aberration légale. »